• 1ère version de X-Factor : X-Mens

    Leur objectif était de s'occuper de jeunes mutants. Ils entrainèrent : Big Bang, Rictor, Skids, Rusty Collins, Artie et la Sangsue.

    2ème version composées de:

    Le mutant Forge fut ajouté par la suite à l'équipe, qui s'allia parfois avec le mercenaire Random, au service de Dark Beast. À sa fin, Félina rejoignit Excalibur en Angleterre, Malabar fut gravement blessé lors d'une attaque et Jamie mourut du virus Legacy (ce fut en fait l'un de ses clones). Havok partit infiltrer une équipe de terroristes. Le gouvernement imposa la présence de Mystique puis de Dents de sabre, la sœur de Bishop, Shard alors forme de photons condensés rejoint l'équipe avec Wild Child.

     

    3ème version ( qui dure pas très longtemps ) composées de:

     ( ainsi que Mystique et Dent de Sabre qui ont du l'intégré de force )

     Forge ne voulait plus en faire partie. Wild Child connut une grave crise de mutation. Mystique et Dents de sabre en profitèrent pour s'enfuir. Ils firent en sorte que le gouvernement croit à leur mort afin de recouvrer leur liberté.

     

    4ème version, X-Factor Investigation:

    Jamie Madrox ( Homme-Multiple ) a formé en plein cœur de Mutant Town une agence de détectives nommée X-Factor Investigations, avec Malabar et Félina (cette dernière venait de quitter son poste de tutrice chez Xavier). Monet, Cyrène et Rictor se sont joints au trio. Ainsi qu'une mystérieuse jeune fille blonde, Layla Miller.


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  •   Sur les toits de New York, un jeune homme du nom de Spiderman, un super-héros avec des pouvoirs d'araignée prend un chasse un certain chasseur du nom de Kraven qui à voler un fusil dans un musée d'Histoire. Après une longue poursuite, Kraven aura le malheurs de percuter Logan alias Wolverine, une proie que Kraven n'ose pas chasser ( On se demande pourquoi !! ). Wolverine est un mutant dont les griffes, les sens aiguisés et le pouvoir d'auto-guérisseur se sont manifestés à la puberté, il y a bien longtemps de ça. Il a combattu dans bien des guerres et vécu de nombreuses aventures avant de tomber dans les griffes du projet Arme X, qui lui a volé ses souvenirs et a recouvert ses os d'adamantium, un métal indestructible. Kraven ne s'arrêtera pas et Wolverine commença à le poursuivre et le rattrapera plutôt vite sous l'étonnement de Spiderman. Kraven prit son fusil et tira une rafale de coups sur Wolverine qui sera touché par plusieurs balles en pleines poitrine. Kraven se mit à rire et Wolverine se guérira lui-même et s'exprima: " aie sa fait mal ". Kraven, surpris, se mit à reculer et percuta Spiderman, Kraven se retourna et il reçu un droite phénoménale de la part du célèbre homme araignée et plus tard sera emmener en prison par les deux super-héros. C'est à ce moment, que Peter Parker qui suite à une piqûre d'araignée radioactif, il est devenu le célèbre Spiderman, a eu une idée génial, l'idée de regrouper tous les héros de l'univers


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  • Nom complet : Jack Kirby
    Date de naissance : 28 août 1917
    Lieu de naissance : New-York (New-York, Etats-Unis)
    Date de décès : 6 février 1994
    Lieu de décès : Thousand Oaks (Californie, Etats-Unis)

    Jack Kirby fut l’un des dessinateurs américains de comics ayant eu le plus d’influence, au style reconnaissable entre tous et d’une prolixité inégalée. Il fut également un scénariste et un éditeur. Son poids dans le milieu fut tel qu’il reçut le surnom de « The King ».

    I. Les premières années

    Né de parents autrichiens de confession juive dans la ville de New-York, il grandit sur Suffolk Street, dans le coin de la Delancey Street du Lower East Side new-yorkais. Essentiellement un autodidacte, Kirby citait parmi les artistes l’ayant influencé, les dessinateurs de comics strips Alex Raymond et Milton Caniff.

    cidé à continuer dans cette voie, Kirby persista à dessiner. Ces tâches répétitives lui permirent de développer son style et d’améliorer sa vitesse de dessin, qui allait devenir ses marques de fabrique.

     Les premiers comics américains étaient des rééditions des strips parus dans les journaux, bientôt, ces « comics » de format tabloïde (25 cm x 37,5 cm) commencèrent par inclure du matériel original sous la forme de strip. Kirby commença à écrire et dessiner de telles histoires pour les comics Eisner & Iger, l’une d’une poignée de sociétés créant des comics sur demande des éditeurs.

    Kirby rejoignit alors l’éditeur de comics et syndicaliste de journaux Fox Feature Syndicate, gagnant un salaire alors raisonnable de $15 par semaine. Il commença à explorer le récit de super-héros avec le strip The Blue Beetle (de janvier à mars 1940), mettant en scène un personnage créé sous le pseudonyme de Charles Nicholas, un nom « maison » que Kirby conserva pour ce strip d’une durée de trois mois.

    II . Simon & Kirby

    Au cours de cette époque, Kirby rencontra et commença à travailler avec l’artiste de dessin-animé et éditeur de la Fox, Joe Simon, de deux ans son aîné, qui, en plus de son travail de gestion continuait à travailler en indépendant. Simon, lors de leur rencontre, avait commencé à carrière à Funnies Inc., où l’éditeur Lloyd Jacquet et les dessinateurs Bill Everett, Carl Burgos et d’autres créaient des comics pour les éditeurs, d’une manière similaire à celle des studios Eisner & Iger. L’un des clients de Funnies Inc. était Timely Comics, qui allait devenir Marvel Comics. Là, Simon créa des personnages comme the Fiery Mask pour Timely et the Blue Bolt pour Curtis Publishing Co. tout en continuant à travailler en parallèle en indépendant. Parlant lors d’une convention internationale de comics de 1998, à San Diego.

    Ils restèrent une équipe au cours des deux décennies suivantes. Au début des années 2000, des dessins originaux d’une collaboration inédite, de cinq pages, de Simon & Kirby, titrée « Daring Disc »  fut publié. Simon publia l’histoire dans la version remise à jour en 2003 de son autobiographie « The Comic Book Makers ». Dans tous les cas, rapidement, ils développèrent un partenariat unique, chacun capable de gérer tous les aspects de la production d’un comics, selon les besoins. C’est vers cette époque que Jacob Kurtzberg adopta définitivement le nom de Jack Kirby; selon Simon, Jack fit cela afin que la Fox ne sache pas qu’il travaillait en indépendant parallèlement à son travail chez eux. Le duo commença à travailler pour divers éditeurs, dont Fawcett Comics où ils produisirent le premier numéro de Captain Marvel Adventures et contribuèrent à Wow # 1. C’est peu après qu’ils commencèrent leur association avec Timely, de l’éditeur de pulps Martin Goodman. Bien que Kirby n’eut pas été impliqué dans la création du personnage éponyme, il intervint dans la seconde histoire, qui mettait en scène Mercury, un être mythologique doté d’une grande vitesse, ce qui fut le premier travail de Kirby pour la future Marvel. Vers la fin de 1940 qui devait influencer de nombreuses autres créations. Leurs perspectives dynamiques, une utilisation révolutionnaire des cases, des techniques de cinématique et un sens exagéré de l’action firent du titre un succès immédiat et redéfinit les règles du dessin pour les comics.

    Captain América fut le premier et plus important personnage à succès que le duo devait produire. Leur contrat ne concernait que dix numéros de la série, ce qu’ils firent, avant de passer à autre chose : suite à un conflit financier avec Martin Goodman, Simon, l’homme d’affaires du duo, leur avait trouvé un meilleur contrat auprès de la National Periodical Publications (la future DC) ; avant de quitter Timely, ils créèrent aussi pour celle-ci les Young Allies. Le nom Simon & Kirby devint bientôt synonyme de palpitants comics de super-héros et les deux hommes devinrent des stars de cette industrie que les lecteurs suivaient de créations en créations.

    Le 23 mai 1942, Jack Kirby épousa Rosalind « Roz » Goldstein. Le couple allait avoir quatre enfants : Susan, Neal, Barbara et Lisa. La même année, il changea légalement son nom de Jacob Kurtzberg à Jack Kirby. Alors que la popularité des super-héros commençait à diminuer après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, Kirby et son partenaire commencèrent à produire une variété d’histoires d’un autre genre.  De plus, Kirby & Simon produisirent des comics sur des thèmes policiers, d’horreurs, de western ou humoristiques.  Enfin, ils retrouvèrent un certain succès avec les histoires romantiques. Ce succès les amena à continuer leurs productions. Kirby créditait ses parents de son incroyable génie inventif : « J’ai été élevé dans une atmosphère d’histoires construites, et d’histoires variées ; mes parents venaient d’Europe, et avaient emmené avec eux toutes les légendes européennes. Les découvrir étaient fabuleux et ma mère était une vraie narratrice.

    L’étape suivante était de devenir éditeurs eux-mêmes. A la fin de 1954, alors que le reste de l’industrie du comics commençait à tourner au ralenti, Simon et Kirby lancèrent Mainline Publications, mais qui ne connut que des ventes médiocres. Ils étaient les créateurs de comics les plus connus et reconnus de l’histoire des comics. Et, malgré cela, ils échouèrent lamentablement, entre autres à cause de l’attaque de Fredric Wertham sur l’industrie des comics au cours des années cinquante. La plupart de leurs titres ne dura que quatre numéros. Avec cet échec cuisant, l’équipe se sépara en 1955, en bons termes, après seize années de collaborations, chacun reprenant sa carrière de son côté, au sein d’une industrie désormais placée sous le Comics Code. Si de nombreux de leurs contemporains connurent des difficultés à l’époque, le légendaire duo, même séparé, retrouva facilement du travail. Kirby continua alors en indépendant ; de son côté, en 1956, Simon accepta un rôle d’éditeur chez Harvey.

    Kirby quitta National Comics après une dispute contractuelle au cours de laquelle l’éditeur Jack Schiff, qui avait été joué un rôle dans l’obtention du contrat pour les Sky Masters au profit de Kirby et des frères Wood, demanda des royalties sur la part des profits du strip qui revenait à Kirby. Schiff traîna Kirby devant les tribunaux et remporta le procès (in « The Comic Book Makers » par Joe et Jim Simon en 1990 et « Tales to Astonish : Jack Kirby, Stan Lee and the American Comic Book Revolution » de 2004).

    III . Stan Lee et Marvel Comics

    En mai et juin 1957, Atlas Comics (autrefois Timely et bientôt Marvel) connut, pour des raisons diverses et trop complexes à exposer ici, une très sérieuse crise. Au début 1957, Atlas était la plus grande compagnie de comics, publiant 75 titres et des milliers d’histoire par an. Puis, en un mois, ils s’effondrèrent, passant un mois sans rien publier avant de revenir le mois suivant avec seulement huit comics mensuels. Ayant perdu leur distributeur, ils durent signer avec une société propriété de National/DC, le second éditeur de l’époque, qui leur imposa des conditions drastiques. Etant passé de 75 titres à 8, Stan Lee, éditeur d’Atlas, se mit brusquement à ne plus acheter d’histoires, ayant un large stock à exploiter antérieur à la crise de 1957 ; l’industrie du comics se retrouva pleine de scénaristes et de dessinateurs sans contrat, alors que les ressources d’Atlas diminuaient considérablement. C’est dans ce cadre là que, selon certains versions, vers la fin de 1958, Jack Kirby se rendit aux bureaux d’Atlas, y trouvant une société au bord du dépôt de bilan ; après avoir discuté avec Lee, il le convainquit de poursuivre la société et, tous les deux, allèrent trouver l’éditeur-en-chef Martin Goodman, pour le convaincre d’exploiter certaines idées de Kirby. Cependant, selon Lee, la situation n’était pas aussi dramatique que Kirby l’indique et que la simple apparition de ce dernier décida Lee à discuter avec Goodman de certaines évolutions à apporter à Atlas Comics.

    Le redémarrage fut lent, Jack se chargeant de comics de science-fiction  – d’histoires mystérieuses, de romans à l’eau de rose ou de western – l’héritage des années Atlas. Jack effectua un travail exorbitant, aussi bien sur le plan des dessins que des histoires. Mais même cela ne fut pas suffisant pour épuiser ses énergies créatrices. Il s’associa avec Joe Simon pour quelques comics chez Harvey et travailla même de nuit pour certaines travaux d’illustrations de classiques. Mais cela allait changer. Kirby commença par revenir aux super-héros en retrouvant brièvement Joe Simon, en 1959.

    Avec Stan Lee, désormais éditeur-en-chef, Kirby recommença à travailler sur des comics de super-héros, après les résultats encourageants des ventes de DC dans le même domaine. Lee et Kirby commencèrent avec Fantastic Four # 1 en novembre 1961. . Pendant presque une décennie, Kirby alimenta le style de Marvel, participant à la création et à la conception de plusieurs personnages de la compagnie, fournissant des esquisses que de nouveaux artistes pourraient exploiter dans leurs dessins. Ses réalisations les plus notables, en dehors des Quatre Fantastiques, incluent Thor, l’incroyable Hulk, Iron-Man, les premiers X-Men, le Surfeur d’argent, le Dr Fatalis, Galactus, le Gardien, Magnéto, Ego la Planète vivante, les Inhumains et leur cité cachée d’Attilan, et la Panthère noire – le premier super-héros noir connu de l’industrie du comics – et sa nation africaine du Wakanda. Le Captain América de Simon & Kirby fut également incorporé à la continuité de Marvel. 1962 fut l’année la plus prolifique de sa carrière et il produisit alors 1158 planches de dessin, soit plus de trois pages par jour. Kirby était à lui seul une véritable compagnie, fournissant plus de la moitié des dessins pour les huit titres de l’époque.

    En 1968 et 1969, Joe Simon fut impliqué dans un litige avec Marvel Comics au sujet des droits sur Captain América, déclenché par Marvel après que Simon eut enregistré le renouvellement du copyright de Captain América à son propre nom. Selon Simon, Kirby accepta de soutenir la compagnie dans le litige et, dans le cadre d’un accord entre Kirby et l’éditeur Martin Goodman, donna à Marvel tous les droits qu’il pouvait avoir sur le personnage (in « The Comic Book Makers » par Joe et Jim Simon en 1990).

    Kirby continua à repousser les frontières du médium, concevant des couvertures, des intérieurs avec des collages de photos ou d’autres expériences. Pourtant, il était de plus en plus insatisfait de son travail chez Marvel. Il y a plusieurs raisons pour expliquer ce mécontentement, dont un ressentiment certain envers la prééminence croissante de Stan Lee auprès des média, l’absence d’une totale liberté créative, la colère ressentie suite à ce qu’il percevait comme des reniements de promesses par Martin Goodman et une frustration de ne pas voir Marvel le créditer spécifiquement pour les scénarii ou les créations ou co-créations des personnages. Alors que les ventes s’accroissaient, Kirby souhaitait obtenir une part des bénéfices mais il ne vit rien venir. Il commença simultanément à écrire et dessiner des séries secondaires de Marvel; il fut entièrement crédité pour ces œuvres mais il finit malgré tout par quitter la compagne en 1970 pour intégrer le grand rival, DC Comics, sous la direction éditoriale de Carmine Infantino.

    IV. La carrière ultérieure

    Kirby revint donc à DC au début des années soixante-dix, ayant conclu un accord lui donnant un contrôle complet sur ses créations en tant qu’éditeur, auteur et artiste. Il produisit alors un cycle de titres liés les uns aux autres sous le sobriquet figurant sur les couvertures « The Fourth World » dont une trilogie de trois nouveaux titres : New Gods, Mister Miracle et The Forever People, ainsi que le titre de la famille Superman : Superman’s Pal Jimmy Olsen sur lequel il travailla à la demande de l’éditeur, le reprenant au # 133.  Kirby produisit ensuite d’autres titres pour DC comme OMAC, Kamandi, The Demon et (retrouvant pour la dernière fois son ancien partenaire Joe Simon). Plusieurs personnages de cette période sont depuis devenus des éléments importants de l’univers DC, comme, par exemple, le démon Etrigan et sa contrepartie humaine Jason Blood, Scott Free (alias Mr Miracle) et le criminel cosmique Darkseid.

    En 1975, Kirby revint à Marvel Comics où il écrivit et dessina Captain America.

    Bien que souvent artistiquement réussis, les comics ne trouvèrent pas un véritable public à la hauteur de celui de ses premiers travaux pour Marvel dans les années soixante. De nombreux thèmes de ses créations des années soixante-dix – le vieillissement et l’immortalité, l’impuissance face à l’inconnu et des pouvoirs inconcevables au-delà des capacités de contrôle d’une personne – étaient ceux d’un homme d’une fin cinquantaine d’années, qui avaient peu de chances de séduire un lectorat beaucoup plus jeune.

    Toujours peu satisfait de la manière dont Marvel le traitait et à cause de leur refus de fournir une assurance de santé ou d’autres avantages pour leurs employés, Kirby quitta de nouveau Marvel, après un dernier graphic novel en 1978 dédié au Silver Surfer, pour travailler dans l’industrie du dessin animé. Il travailla également sur le dessin animé des Fantastic Four, ce qui l’amena à travailler de nouveau avec Stan Lee, comme scénariste.

    L’aspect le plus copié du travail de Kirby a été son sens exagéré des perspectives et du dynamisme. Ce qui reste plus difficile à imiter est le langage corporel expressif de ces personnages, qui se prenaient dans les bras ou fonçaient vers n’importe quoi, de simples gâteaux aux combats, avec une inconsciente exubérance, ainsi que des innovations constantes visant à développer le médium, comme les photomontages qu’il lui arrivait d’utiliser dans ses dessins. Il fut l’un des pionniers dans l’emploi des personnages issus des minorités visibles dans les comics et Kirby fut le co-créateur du premier super-héros noir de Marvel.

    Durant les dernières années de sa vie, Jack Kirby fut révéré comme un vieil homme d’Etat, dans le domaine du comics. Petit, trapu, au regard pugnace, désormais avec des cheveux blancs et presque en permanence doté d’un cigare, il n’eut jamais une parole blessante envers quiconque. Lorsqu’il mourut d’un arrêt cardiaque le 6 février 1994, dans sa demeure de Thousand Oaks, en Californie, l’émotion de l’industrie fut inouïe. Même aujourd’hui, des magazines sont encore publiés à son sujet. Le Jack Kirby Collector a atteint son trente-deuxième numéro et une seconde édition de la Kirby Checklist est en cours. Sans Kirby, il est probable que nous n’aurions pas les comics que nous lisons aujourd’hui. Sa mort n’était pas seulement la fin d’un homme seul, c’était aussi la fin d’une époque.

    V . Récompenses et reconnaissances

    Jack Kirby fut largement reconnu au cours de sa carrière, y compris l’Alley Award de 1967 comme Meilleur Dessinateur et une seconde place aux Alley Awards de 1968 dans la même catégorie.  Il fut introduit dans le Hall of Fame des Shazam Awards en 1974. Les Jack Kirby Awards et le Hall of Fame Jack Kirby furent évidemment baptisés en son honneur. En 2006, il fut élu meilleur artiste dans le classement des 100 Meilleurs auteurs et artistes de tous les temps établi par Comic Book Ressources.

     

    VI . Héritage

    Kirby est reconnu officiellement par les créateurs de comics et les fans comme l’un des plus grands artistes et l’un de ceux ayant eu la plus grande influence dans l’histoire des comics. Sa productivité est devenue légendaire, un décompte estimant qu’il produisit plus de 25000 pages au cours de sa vie, ainsi que des centaines de comics strips et d’esquisses. Il produisit également des peintures et travailla sur des concepts d’illustration pour plusieurs films de Hollywood.

    En 1985, Mark Evanier révéla que des milliers de pages dessinées par Kirby avaient été perdues par Marvel Comics. Ces pages devinrent l’objet d’un litige entre Kirby et cette compagnie. En 1987, en échange de son renoncement à toute prétention sur les droits des personnages, Kirby reçut de Marvel les 2100 pages de ses travaux originaux qui restèrent désormais en sa possession. Le sort réservé aux planches de Kirby pour DC, Fawcett et plusieurs autres compagnies demeure incertain.


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